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Environnement - cadre de vie

La politique porte un projet vertueux en matière d’urbanisme et de consommation d’espaces. Le PLU a ainsi pour objectif de réduire de plus de 50% la consommation d’espaces naturels, agricoles, et forestiers par rapport aux 10 dernières années. 2/3 du territoire sont ainsi classées comme telles (ENAF ou espaces verts protégés).

En savoir plus dans la partie urbanisme.

En complément, la ville met également en place des actions d’aménagement et de sensibilisation de la population.

Plus de place au végétal

L’engazonnement du parking de la rue Eugène Corre, situé face au lycée maritime et au collège Larzabal, réalisé en 2021, a été une réussite à tous niveaux :

  • Ecologique : 650 m² de sols ont été « désimperméabilisés », permettant une meilleure infiltration des eaux de pluie dans le sol, le désengorgement des réseaux d’eaux pluviales mais aussi une réduction des îlots de chaleur en zone urbaine.
  • Financier : l’opération avait bénéficié du soutien de l’Agence de l’Eau Adour-Garonne, à hauteur de 60 000€, permettant d’absorber le surcoût lié à cette technique d’engazonnement.
  • Esthétique : la présence de cet îlots vert est une vraie bouffée d’oxygène pour cet espace minéral et artificiel.

Forte de cette première opération, la municipalité a décidé que chaque réfection d’aire de stationnement serait réalisée de cette manière partout où c’est possible ; c’est le cas du parking du quai Ravel, repris au début de l’été 2022.

Sensibilisation avec le CPIE Littoral Basque

La collectivité a conclu un nouveau partenariat avec le CPIE Littoral Basque (Centre Permanent d’Initiatives pour l’Environnement), afin de bénéficier d’un accompagnement sur les actions de sensibilisation à l’environnement, qui seront ensuite menées ponctuellement auprès des enfants des écoles ou de l’accueil de loisirs ou auprès du grand public.

Retrouvez les actions Nature et environnement dans l’agenda !

Place aux vélos !

Un cycliste peut rouler à contresens seulement si la vitesse maximale autorisée est inférieure ou égale à 30 km/h sur cette voie, selon l’article Article R 412-28-1 du code de la route. Afin de rappeler cette règle encore mal connue de la plupart des usagers, et afin de sécuriser les cyclistes mais aussi les automobilistes, la ville a procédé à la matérialisation de cette règle au sol.
Automobilistes, levez le pied !

En parallèle, constatant l'engouement croissant des Cibouriens et visiteurs pour la petite-reine, les services municipaux ont installé des arches pour faciliter le stationnement vélo, un peu partout dans la ville.

Propreté urbaine

Lutte contre les rats

Chaque année, la ville organise 3 à 4 campagnes de dératisation sur les réseaux extérieurs. De plus, tout au long de l'année, les particuliers et les entreprises cibouriennes peuvent se procurer gratuitement du raticide à l'accueil de la mairie.

Lutte contre les mégots

Un partenariat a été conclu avec Alcome, un éco-organisme en charge de a gestion des mégots, issu de la Loi anti-gaspillage pour l’économie circulaire promulguée en février 2020. Aboutissement d’un travail de lobby mené par plusieurs acteurs militant pour la protection de l’environnement, notamment Surfrider Foundation, Tree6clopes ou Zéro Waste France, cette démarche prévoit de faire payer aux producteurs le coût de traitement des déchets dangereux ou difficiles à éliminer. 
Le but ? Réduire de 40% le nombre de mégots abandonnés illégalement dans les espaces publics d’ici 2027-2028.
Sur Ciboure, alors qu’il était jusqu’à présent supporté par le contribuable, ce coût sera ainsi pris en charge par Alcome, sous la forme d’un versement forfaitaire de 10 000€ par an. 
En contrepartie, la commune s’engage à mener des actions de prévention et de sensibilisation, et à installer des cendriers dans les endroits stratégiques.

La commune se montre ambitieuse sur ce projet et compte sur la participation des Cibouriennes et des Cibouriens !

Lutte contre les déchets sauvages

De plus en plus d’incivilités sont observées au niveau des points de collecte : des sacs d’ordures ménagères ou des déchets encombrants sont trop souvent déposés à côté des conteneurs.

La Communauté d’Agglomération Pays Basque a récemment délibéré en faveur d’une pénalité contre les dépôts irréguliers de déchets. Afin de sanctionner les dépôts sauvages aux abords des conteneurs des points de collecte, le règlement du service public de collecte prévoit un régime de pénalité qui sera appliqué par des agents de la CAPB spécialement commissionnés à cet effet. Ce dispositif a pour objectif de faire prendre en charge par tout contrevenant les frais occasionnés pour l’enlèvement et le nettoyage des dépôts sauvages.

Les montants fixés par la délibération du Conseil communautaire :

  • Tarif 1 : 70 € pour des dépôts d'ordures ménagères/emballages ménagers et cartons dans des lieux autorisés mais non conformes (non-respect des jours et horaires de collecte, dépôts de déchets au pied des conteneurs, non-respect du tri des déchets et des consignes de tri)
  • Tarif 2 : 120 € pour des dépôts de déchets encombrants* ou dangereux* non conformes (*tous les déchets destinés à être déposés dans les déchèteries).

En savoir plus sur la gestion des déchet à Ciboure
www.biltagarbi.fr

Désherber son pas de porte : un geste éco-responsable !

Chaque année, le printemps et l’été sont propices à la repousse de l’herbe sur les trottoirs, surtout depuis que l’utilisation des produits phytosanitaires, reconnus dangereux pour l’environnement et pour l’homme, sont interdits. 

Bien qu’elles ne soient ni sales ni des déchets, les herbes sauvages, quand elles prolifèrent, peuvent envahir les trottoirs ou l’espace public, causant des fissures, des trous, et gênant le passage.

C’est la raison pour laquelle ville et citoyens doivent agir collectivement pour préserver le bon état des espaces publics.

 En effet, comme dans la majorité des communes, le règlement de voirie de Ciboure prévoit que le désherbage du pas de porte et du trottoir incombe aux riverains, dès qu’ils le peuvent.

 De son côté, chaque été, la ville recrute deux saisonniers et mobilise six agents sur cette mission spécifique, et elle fait régulièrement appel à l’association d’insertion ADELI pour renforcer ses équipes.

Des seaux à marée sur les plages

Dans le cadre des actions de sensibilisation et d’éducation à l’environnement portées par l’accueil de loisirs de Ciboure, les enfants ont créé des seaux à marée avec l’aide de l’association Recycl’Arte, à partir de bidons de lessive, et de matériaux de récupération.

Ils ont été installés sur les plages de Socoa, du fort et du centre et sont en libre-service pour celles et ceux qui souhaitent joindre l’utile à l’agréable lors de leur promenade, pour ramasser les déchets rejetés par l’océan avant de les jeter dans le bac à marée à l’entrée de la plage.

Antennes relais

Consciente des inquiétudes suscitées par l’implantation d’antennes de téléphonie sur Ciboure, la municipalité souhaite apporter plus de transparence aux administrés. 

6 sites supports d’antennes de téléphonie, majoritairement privés

Au 10 mai 2021, la ville recense dix supports d’antennes de téléphonie mobile sur le périmètre communal. Sont écartées de ce chiffre les supports hertziens, les antennes TV ou radio, ou les communications spécifiques au CEREMA par exemple.
Ces dix supports sont répartis sur 6 sites, dont 1 communal, situé rue du Dr Micé, sur lequel un support 2, 3 et 4G est implanté pour le compte de l’opérateur SFR. Les autres supports sont situés sur des domaines privés, tels que les supports situés sur le chemin de Sainte Croix, installés sur la propriété des autoroutes du sud de la France (ASF).
Ce recensement est consultable par toute personne sur www.cartoradio.fr, site qui cartographie l’emplacement des antennes radioélectriques et donne accès aux mesures d’exposition aux ondes sur tout le territoire.

7 demandes de mesures de champs déposées par la ville

En ce sens, la municipalité a déposé 7 demandes de mesures de champs sur les installations déjà en place, auprès de l’agence nationale des fréquences.

Le laboratoire Exem a été dépêché par l’ANR pour réaliser ces mesures, fin mai. A savoir, la valeur limite de référence dans la bande de fréquence est de 27,5 volts par mètre. A cette date, l’étude démontre que le niveau d’exposition sur Ciboure est à ce jour très faible :

  • Centre de loisirs à Socoa : 0,33 V/m
  • Tour de Bordagain : 0,19 V/m
  • Place Camille Jullian : 0,25 V/m
  • Place Lannes : 0,43 V/m
  • Crèche municipale et CCAS : 0,18 V/m
  • Avenue Erreka Zahar : 1,33 V/m
  • Espace polyvalent : 0,18 V/m

Les résultats détaillés sont consultables sur : www.cartoradio.fr
Cette étude permet de connaître le taux d’exposition à un instant T, mais il sera intéressant de refaire cette étude sur ces sites chaque année, afin de suivre l’évolution de ce taux.

La possibilité de demander gratuitement une étude de simulation pour les administrés


La municipalité rappelle que tout administré qui le souhaite peut faire réaliser gratuitement une mesure sur l’exposition aux ondes de son lieu de vie, en adressant à l’AFNR une demande en ligne via le site : https://mesures.anfr.fr/. Il suffit de cocher « Vous êtes un particulier » et de suivre les indications sur le site. 

Les dossiers d'information mairie (DIM)

Retrouvez ici tous les dossiers d’information mairie en cours, déposés par les opérateurs pour leurs nouvelles installations d’antennes relais ou pour la modification substantielle d’une antenne relais existante.